Recherche
- Journées Culturelles - 1ère édition
Les origines du cheval dans l'art
- Peinture rupestre, les chevaux de Lascaux
- Tête de cheval hennissant
- Étendard d'Ur, face de la guerre
- Fresque de la tombe de Nebamon
- Char et cavalier de l'armée assyrienne
- Peigne avec une scène de combat
- Cavaliers au galop, Frise du Nord, Parthenon
- Chevaux ailés étrusques
- Mausolée de l'empereur Qin
- Mosaïque de la bataille d'Alexandre le Grand
- Cheval volant de Gansu
- Statue de Marcus Aurelius
- Au cœur des chevaux
Au cœur des chevaux
Un cavalier hors norme, artiste et figura, raconte son incroyable destin et son extraordinaire relation avec ses chevaux. Pablo Hermoso de Mendoza compte parmi les plus grands cavaliers mondiaux et parmi les rejoneadores les plus importants de l'histoire. Il a dominé sa spécialité, triomphé dans les plus grandes arènes et éblouit les spectateurs du monde entier. La parfaite connexion qu'il entretient avec ses chevaux, fondée sur l'harmonie et l'acceptation, a provoqué une révolution dans l'équitation taurine et ouvert des horizons nouveaux, reculant les frontières de la performance et créant de nouveaux gestes de dressage. De souvenir en souvenir, il raconte ici l'aventure d'une vie incroyable écrite par les sabots de ses chevaux, les grands Cagancho, Chenel ou Pirata, qui revivent ici.
Auteur : Pable de Hermoso de Mendoza
Nombre de pages : 352
Format : 13,5 x 19,5 cm
Année de parution : 2016
Édition : Diable Vauvert - Baucher cet incompris
Baucher cet incompris
Quelle que soit la qualité des professeurs qui nous ont initiés à l'Art Equestre, l'équitation demeure une quête solitaire. Cette quête débouche parfois sur l'illumination". Ce phénomène d'illumination s'est présenté deux fois pour Jean-Claude Racinet. La première fois, c'est quand, tournant le dos à la recherche de l'appui et à ses subtilités douteuses, il a choisi la voie Bauchériste de la légèreté de mâchoire. Les résultats furent tels qu'ils l'amenèrent à reconsidérer la réputation d'artiste maudit qui a été faite au Maître français du XIXème siècle, et à rompre des lances en faveur de sa philosophie équestre. Cette philosophie peut se résumer en une formule simple : primauté de l'équilibre. Ce fut l'objet de maints articles et principalement celui de ce livre. La deuxième fois, c'est quand il fut initié aux principes de l'ostéopathie équine dont le docteur Giniaux a été le pionnier ; ils lui permirent de découvrir à quel point Baucher avait pu être un précurseur, puisque ses célèbres "flexions" sont en fait des manipulations ostéopathiques avant l'heure, qui débouchent bien souvent sur une libération des "blocages" vertébraux au niveau du segment cervical. Ce fut l'objet d'un livre ultérieur, "Vers une Equitation Totale", mais on peut déjà trouver en germe ces considérations dans le présent livre.
Auteur : Jean-Claude Racinet
Nombre de pages : 192
Format : 14,5 x 20,5 cm
Année de parution : 2002
Édition : PSR Editions - James Fillis, L'écuyer de l'Europe
James Fillis, L'Écuyer de l'Europe
"La biographie d'un grand écuyer."
Né à Londres, James Fillis (1834-1913) vint très jeune en France. Issu du monde du cirque, il côtoya d'abord François Baucher, dont il fut tant admirateur que critique. Écuyer chez Victor Franconi à Paris, il connut la gloire lors de présentations publiques de chevaux dressés en Haute-École dans les années 1880-1890.
Personnage hors du commun, montant jusqu'à seize chevaux par jour, James Fillis s'est intéressé à toutes les formes d'équitation. Inscrivant sa doctrine dans la tradition de l'École française, il fut aussi un auteur de renom.
Auteur : Gabriel Cortès
Nombre de pages : 290
Format : 15 x 22 cm
Année de parution : 2016
Édition : Belin - Main sans jambes... Dressage du cheval de selle
Main sans jambes... Dressage du cheval de selle
Officier de cavalerie, issu de l'école de Saumur, Etienne Beudant fit une grande partie de sa carrière dans des régiments de cavalerie en Afrique du nord.
C'est à travers l'enseignement du général Faverot de Kerbrech que Beudant fut initié au bauchérisme dit de la deuxième manière. Fidèle à l'incroyable Maître dont il a possédé sans défaillance la méthode simple et logique, il réussira à obtenir de merveilleux résultats avec tous ses chevaux à l'extérieur comme en haute école. Son Suvre témoigne de cette recherche de perfection idéale : la légèreté, si particulière à l'École française.
Dressage du cheval de selle (1929, troisième édition revue de 1948) se présente comme un mémento rédigé en vue d'une mise en pratique. Beudant y indique pas à pas et sans commentaire les moyens les plus faciles de tendre vers la perfection en équitation usuelle, puis en équitation savante
et de fantaisie.
Dans Main sans jambes, Beudant analyse le dressage méthodique selon les derniers enseignements de Baucher, dans une forme simple et vivante, il ne s'agit pas ici de manuel ou de précis d'équitation ; j'expose familièrement
ce que je crois juste. Identifiant la légèreté à la décontraction de la bouche il développe le principe de non-opposition des aides impulsives à la main. Beudant s'inscrit ainsi dans l'histoire de l'École classique et tout particulièrement du bauchérisme qui fut pourtant si décrié par les maîtres
de l'ancienne École française.Auteur : Etienne Beudant
Nombre de pages : 220
Format : 15 x 22,5 cm
Année de parution : 1997
Édition : Jean-Michel Place - Un centaure au crépuscule, Alexis L'Hotte
Un centaure au crépuscule, Alexis L'Hotte
Le général Alexis L’Hotte passe pour le plus orthodoxe promoteur de l’équitation classique française, aujourd’hui inscrite au patrimoine immatériel de l’humanité. Elève chéri de deux fameux écuyers antagonistes, François Baucher, « l’artiste sublime », et le comte d’Aure, « le plus parfait centaure », L’Hotte se voit crédité d’une synthèse illusoire de l’enseignement des deux maîtres.
En vérité, il a pioché chez l’un et chez l’autre au gré des situations sans pour autant échafauder une véritable doctrine. Son « Calme, en avant, droit » peut orienter une quête ; il ne fonde pas une méthode.
Beau, élégant jusqu’à la coquetterie, sobre et précis, L’Hotte subjugua tous les cavaliers qu’il eut à former, à Saint-Cyr comme à Saumur. Il fascina la cour impériale, se fit encore du tout jeune Lyautey un admirateur indéfectible… Il demeura néanmoins un maître avare de conseils. Quant il mettait pied à terre, c’était aussitôt pour prendre des notes, debout à son plan de travail, solitaire et silencieux. Et, paradoxalement, cette distance accrut son prestige. Pour le reste, le général ne combattit jamais, ce qui le distingue notoirement de tous ses frères d’armes. Il n’en fut pas moins autorisé à prononcer des avis définitifs – et parfaitement rétrogrades – sur les nécessaires mutations de la cavalerie militaire ; légitimiste notoire, il n’en fut pas moins le « fusible » de ministres républicains… Jamais, enfin, il ne pressentit le naufrage de la civilisation équestre.
Un pédagogue taciturne, un soldat sans guerre, un politique fourvoyé, ce pourrait être un peu court. Cependant l’impeccable parcours de l’écuyer se confond avec l’histoire de la question équestre au XIXe siècle. Or jamais jusqu’alors la question n’avait à ce point obnubilé les esprits. En effet, le paradoxe mérite d’être relevé, le « siècle de l’industrie » fut aussi, et d’abord, presque, celui du cheval.
Editeur d’art, historien, documentariste, Nicolas Chaudun est notamment l’auteur d’une biographie du baron Haussmann qui fait référence, ainsi que de deux récits historiques : «L’Eté en enfer», plusieurs fois primé, et «Le Brasier», élu meilleur livre d’histoire de l’année 2015 par le magazine Lire. Par ailleurs, son essai consacré au portrait équestre dans la peinture occidentale, «La Majesté des centaures», avait obtenu le prix Pégase en 2007. L’essentiel de son œuvre est publié chez Actes-Sud.
Auteur : Nicolas Chaudun
Nombre de pages : 192
Format : 11,5 x 21,8 cm
Année de parution : 2016
Édition : Actes Sud